• L’Église que j’aime c’est celle qui…

    JUAN ARIAS

     

    Théologien et philosophe

     

    Il est né en 1932 et s’est intéressé au Concile Vatican II et a travaillé à Rome comme journaliste.

     

     

     

    • Celle qui est convaincue que le Christ est le port et qu’elle n’en est que le phare.

     

     

     

    • Celle qui préfère être semeuse d’espérance plutôt que glaneuse de peurs.

     

     

     

    • Celle qui me dit honnêtement et sans arrogance : « Nous sommes un peuple en marche vers une fin commune et nous devons cheminer la main dans la main, boire à la même fontaine et traverser les mêmes périls ».

     

     

     

    • Celle qui ne m’offre pas un Dieu congelé et figé mais un Dieu vivant, présent et que nous pouvons découvrir à tout moment, parce que c’est un Dieu inépuisable.

     

     

     

    • Celle qui craint davantage pour ceux qui ne bougent pas, de peur de pécher, que pour ceux qui ont péché parce qu’ils marchaient.

     

     

     

    • Celle qui me parle plus de liberté que de l’obéissance, de l’espérance que de l’autorité, du Christ que d’elle-même, de la faim des pauvres que de la collaboration avec les riches, d’aujourd’hui que d’hier.

     

     

     

    • Celle qui se préoccupe davantage d’être authentique que nombreuse, d’être simple et ouverte à la lumière que d’être puissante, d’être œcuménique que d’être dogmatique.

     

     

     

    • Celle qui m’offre un Dieu si semblable à moi que je peux jouer avec lui, et si différent que je peux trouver en lui ce dont je ne saurais même rêver.

     

     

     

    À d’autres, un visage différent de l’Église pourra plaire davantage. Moi, je l’aime comme cela parce que c’est ainsi que je vois en elle avec certitude la présence vivante du Christ, du Christ ami de la vie, lui qui est venu, non pour juger mais pour sauver ce qui était perdu

     

     

     

    JUAN ARIAS

     

    Théologien et philosophe

     

    Il est né en 1932 et s’est intéressé au Concile Vatican II et a travaillé à Rome comme journaliste.

     

     

     

     

     

     
      Il y a 60 ans : « Un peu d'air frais ! » - Un vent nouveau sur l'Église -   
     
    Le 11 octobre 1962 est une date historique pour l’Église catholique. Ce jour-là s’ouvrait à Rome le Concile Vatican II voulu par Jean XXIII. 2.427 participants seront présents dans la basilique Saint-Pierre. Parmi eux, les cardinaux et les évêques, mais aussi des observateurs protestants, orthodoxes, anglicans et vieux-catholiques.
     
    Le Pape donne le ton et l’esprit des travaux dans un discours d’ouverture qui reste dans les mémoires: « Notre devoir n’est pas seulement de garder ce précieux trésor comme si nous n’avions souci que du passé, mais de nous consacrer, résolument et sans crainte, à l’œuvre que réclame notre époque, poursuivant ainsi le chemin que l’Église parcourt depuis vingt siècles ».
     
    PLUS sur le Concile 
    NB : Ce lien vous conduit vers le site que nous avions mis en ligne en octobre 2012 à l'occasion du 50e anniversaire. Malgré certains liens hypertexte inactifs, principalement dans la section VIDEO et +, de nombreux documents et ressources diverses restent accessibles. Bonne visite et merci de votre compréhension en ce qui concerne les liens "en erreur".
     


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